|
|
|
Ancien : Orléans grimpe encore !
|
|
|
Ancien : Orléans grimpe encore !

Ancien : Orléans grimpe encore !

La Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM) a publié ses chiffres pour l’année 2021. Premier constat : un marché hautement résistant malgré la crise du Covid, avec un volume de transactions record estimé à 1,2 million de ventes. Les villes moyennes telles qu’Orléans sont les grandes gagnantes de l’année.
L.B
Partager sur facebook
Partager sur twitter
Partager sur linkedin
Partager sur email
Partager sur whatsapp

Face aux baisses de rendement des assurances-vie et de l’incertitude économique qui pèse sur les autres placements, la pierre demeure plus que jamais la valeur refuge des Français. Sa faible volatilité a en tout cas convaincu les acheteurs, qui ont décidé de sortir des grandes métropoles pour se rapprocher des villes moyennes et des zones rurales, entraînant ainsi une hausse des prix significative. En moyenne, l’augmentation est de 7,2 % dans toute la France, avec un avantage pour les maisons. Au niveau national, le prix au mètre carré s’établit désormais à 2 574 €, soit 3 171 € pour les appartements et 2 113 € pour les maisons. 

La FNAIM a observé un rééquilibrage sans précédent entre les villes les plus chères – en particulier Paris ou les prix stagnent depuis un an – et certaines villes balnéaires, les villes moyennes ou les communes rurales. Contre toute attente, ce sont aussi les stations de ski qui ont vu leur prix s’envoler, avec une hausse moyenne de 8,6 %. Preuve que le besoin de respirer des Français, assorti à la découverte du télétravail pour beaucoup, s’est vraiment concrétisé par des actes forts… 

Les villes qui décollent sont principalement situées à l’ouest, avec notamment Brest, qui a connu une augmentation de 18,4 %, et La Rochelle, avec 14 %. 

À l’ouest, du nouveau

En très bonne place dans le peloton, Orléans voit ses prix grimper de 13,2 %. Des résultats à relativiser, tout de même, car ce bond des prix ne signifie pas une horde d’acheteurs à la conquête de l’Ouest, mais plutôt un rattrapage après des années de sommeil. Pour 2022, difficile d’imaginer une poursuite sur ce rythme : les professionnels observent ainsi une prudence de Sioux, prédisant plutôt une accalmie après l’euphorie et une consolidation du marché. Les regards restent tournés vers les taux d’intérêts des crédits immobiliers – qui se stabilisent pour l’instant à leur plus bas niveau historique – et vers l’inflation, qui n’a pas encore produit ses effets. En février 2022, après une légère hausse des taux en novembre et décembre, habituel en ces périodes, les taux sont redescendus pour se maintenir au même niveau. Les banques affichaient, même en début d’année, une très forte envie de faire de l’immobilier…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Autres ARTICLES a lire
Tamani A. : French connexions
Arrivée il y a trois ans dans la métropole orléanaise,...
Ferrari, gros moteur énervé !
Ça s’est passé au zénith d’orléans.
Une furieuse fureur de vivre
Avant de partir en tournée nationale, Aria da Capo, le...
Événements de la semaine
13
Mar
11
Mar
Saint-Jean-de-la-Ruelle Médiathèque Anna-Marly puis dans tous les quartiers de la ville
#
11
Mar
Orléans – Palais de Justice – 44, rue de la Bretonnerie
#
14
Oct
Orléans – Théâtre Gérard Philipe
à 15 h
11
Oct
Orléans – Salle de l’institut
à 10 h 45
ARTICLES RÉCENTS