À la tête de Résonance Business, la dynamique Marion Colin, qui s’est lancée dans l’entrepreneuriat après de nombreuses expériences d’accompagnement stratégique d’entreprise. Elle est accompagnée par Tristan Tornatore, ex-Google for Startups, qui a accompagné plus de 5 000 entrepreneurs en France dans leurs projets d’innovation. Très jeune réseau né par temps de pandémie mondiale, Résonance Business a tissé un réseau national divisé en antennes locales. À ce jour, Angers, Aix-en-Provence, Auxerre, Marseille, Vannes et Orléans ont un réseau actif et seront très bientôt rejointes par les villes de Blois et Rennes.
À l’instar des autres réseaux du même genre, Résonance Business invite les entrepreneurs à sortir de leur solitude, un frein évident à leur développement, en rejoignant un club d’affaires dans lequel ils pourront non seulement multiplier leurs connaissances en local, mais aussi échanger des expériences et, même, acquérir des notions utiles. Afin d’éviter toute concurrence, chaque membre y est l’unique représentant de son métier. Toutefois, la pression n’est pas de mise dans le package de départ, comme c’est régulièrement le cas depuis que les réseaux se fondent sur le modèle du BNI (Business Network International) au sein duquel la recommandation mutuelle et l’apport d’affaires sont obligatoires, et suivis de près, pour demeurer membre. Résonance Business entend rester au contraire au plus proche de l’individu, l’épanouissement de ce dernier étant nécessaire pour relever les challenges de demain : inclusion, écologie, accessibilité, culture… La participation aux réunions n’est donc pas obligatoire, dès lors que le membre se rend aussi présent qu’il le peut et l’adhésion, dont la somme participe au rayonnement du réseau, est accessible à tous les entrepreneurs.
Orléans résonne !
Résonance Orléans Business est co-dirigé par David Lennert (gérant de Centre Guêpes et Frelons – gestion des nuisibles 2.0 et écoresponsable) et Stéphane Bernard (gérant de Odonate conseil – conseil et accompagnements aux professionnels, stratégie du changement et gestion des organisations), deux personnalités qui invitent le visiteur à être à l’aise, par leur humour, leur chaleur humaine et leur dynamisme. Les membres du club les retrouvent deux fois par mois sur Saran pour des réunions business et des ateliers thématiques. Ces dernières s’ouvrent sur une prise d’informations amicale : « quoi de neuf pour toi dernièrement ? » et démarrent par un tour de table au cours duquel chaque entrepreneur peut faire part d’un besoin, d’une crainte, d’un challenge ou d’une opportunité. Graphisme, immobilier, gestion de patrimoine, photographie, coaching, restauration… : les corps de métier diffèrent suffisamment pour que chacun puisse prodiguer des conseils aux autres et en recevoir, parfois par le biais de questions anodines, car ne pas être du milieu permet de porter un regard objectif sur la profession de son voisin.
Le club d’Orléans propose aussi sur l’année l’organisation de deux événements locaux afin de dynamiser le tissu entrepreneurial régional, quatre conférences animées par des invités spécialisés dans le domaine choisi ainsi que trois interclubs pour aller à la rencontre des membres des clubs voisins. λ
