Festiv'Elles : célébration de l'engagement des femmes dans la métropole d'Orléans | Tribune hebdo - L'actualité du Loiret et de l'Indre et Loire
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Festiv’Elles : célébration de l’engagement des femmes dans la métropole d’Orléans

Festiv’Elles : célébration de l’engagement des femmes dans la métropole d’Orléans

Le festival intercommunal d’Orléans qui met « les femmes engagées à l’honneur » se tient du 27 février au 28 mars prochains dans douze villes de la métropole.
A.B
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Festiv’Elles veut mettre en avant les « femmes qui se sont levées et qui ont osé dire non », des femmes qui « ont pris leur destin en main » pour s’accomplir comme artiste, danseuse, sportive. À travers des expositions, des spectacles, des lectures, des films, le rire rencontrera les larmes, la découverte se mêlera à l’émotion. Parmi les 22 propositions culturelles qui s’étalent sur quatre semaines de festival, on dénombre 13 spectacles, 3 films et 3 expositions, dont une itinérante. Dans la perspective des JO de Paris 2024, c’est la thématique du sport qui a été retenue pour l’édition 2023. L’exposition itinérante Championnes françaises d’exception voyagera ainsi de Saran vers Ormes (du 27 février au 17 mars) puis Saint-Jean-de-Braye (du 18 mars au 7 avril). Elle donnera à voir des moments de victoire, de sacré et d’émotion, des moments propices à provoquer des vocations sportives chez les filles. À L’Unisson de Saint-Jean-de-la-Ruelle, une exposition sera consacrée à l’artiste orléanaise Jeanne Champillou (du 18 au 26 mars), tandis qu’à la bibliothèque municipale d’Ingré, le film En avant les femmes sera consacrée à Olympe de Gouges, dont les idéaux étaient très en avance sur son temps (du 6 au 25 mars). Le film documentaire Fragments d’Elles, de Perrine Ruffin et Charlotte Leuvard, sera quant à lui projeté le 7 mars à La Passerelle de Fleury-les-Aubrais (à 14h30 et à 20h30). D’une durée d’une heure, ce film est une ode à la sororité et à l’acte d’oser. Une femme douce, du réalisateur ukrainien Sergei Loznitsa (2017), a pour sa part été sélectionné au Festival de Cannes. Racontant la bataille absurde d’une femme contre le système carcéral, il sera présenté à l’Espace Béraire de La Chapelle- Saint-Mesmin le 10 mars à 19h. Un atelier d’échange sur l’éco-féminité façon cercle de parole (gratuit) sera animé par Loyaa le 24 mars à la Maison de la Polyculture d’Ormes, pour découvrir une philosophie qui se situe entre l’écologie, la féminité et le féminisme. Dès la soirée d’ouverture du festival, le 2 mars à 19h30, les femmes occuperont le devant de la scène avec La vie n’est pas un conte de fées (auditorium Espace des Carrières d’Ormes) d’Irina Gueroguiev, un solo théâtral écrit et interprété par la comédienne traitant des désirs d’une femme. La Petite Communiste qui ne souriait jamais, adapté du roman de Lola Lafon, lu par Vicky Lorenço accompagnée par la clarinette de Sacha Gillard, tournera parmi les communes en quatre épisodes. Adé et ses annales versera quant à lui dans le burlesque (le 8 mars à Fleury-les-Aubrais) tandis que Olivia Moore, égoïste fera le pari de l’humour (le 10 mars à Ingré). Le duo Les géantes mixera la chanson et le texte (le 16 mars à Chécy), tandis que la compagnie « Les yeux grand fermés » donnera un show de danse contemporaine, Les Fleurs d’encre, le 28 mars, à Saint-Denis-en-Val.

 

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