Écrit à la première personne dans une langue aussi incorrecte que truculente, Cendres de Marbella est le récit d’une trajectoire au ras du bitume, celle d’un petit gars meurtri qui voudrait bien s’extirper de sa banlieue en déliquescence autogérée, pour être quelqu’un d’autre du bon côté du périphérique. À la grandeur succèdera la chute et la décadence. Tout deviendra rouge et le propos noir d’encre… Par la compagnie Périphériques.