Ma Came : Découvrez les pépites déco restaurées avec style
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Originaire de Bourgogne, Carla habite Orléans depuis deux ans, elle y a suivi Maxime, son copain. La jeune femme a suivi des études de droit et d’histoire de l’art dans l’optique de devenir commissaire-priseur, après avoir fait du mannequinat. « Je me demandais ce que je pouvais faire comme métier avec du droit qui ne soit pas du droit, glisse celle pour qui le métier de commissaire-priseur est un vrai coup de cœur. J’ai voulu m’insérer rapidement dans le milieu, grâce à des stages dans plusieurs maisons de vente, en France et à l’étranger dont Drouot (ndlr : où elle a rencontré Maxime) mais j’ai rapidement remarqué que les objets décoratifs avec une valeur historique retenaient l’attention alors que d’autres objets très chouette étaient boudés par la clientèle. » Carla pense, elle, que ces derniers pourraient tout à fait plaire à un public jeune. Lorsqu’elle termine son master, elle achète et restaure des objets et meubles. « Je me suis plantée plein de fois, j’ai appris au fur et à mesure, si bien que je n’ai même pas passé mon examen ! » Si elle a adoré les gens qu’elle a eu la chance de rencontrer dans ce parcours, Carla déplore que le métier aille si vite. « Le métier de commissaire-priseur, c’est un déménagement perpétuel, tu n’as pas de temps à consacrer aux objets, ni pour les nettoyer, ni pour les réparer, les photos sont prises à la va-vite. » En 2020, c’est décidé, elle se tourne vers un nouvel avenir, plus posé. Elle a commencé par entreposer son stock en Bourgogne, chez ses parents. Puis, elle investit le dépôt-vente des Montées, à Orléans, pendant un an, avec trois autres antiquaires. Le groupe se partage le loyer mais Carla a besoin de plus de place. « Les horaires de présence à la façon d’une boutique rendaient l’activité compliquée, j’ai maintenant un espace de stockage à Olivet », justifie la chineuse.