Gin d'Arc : Découvrez l'expérience unique des spiritueux d'exception | Tribune hebdo - L'actualité du Loiret et de l'Indre et Loire
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Gin d’Arc : Découvrez l’expérience unique des spiritueux d’exception

Gin d’Arc : Découvrez l’expérience unique des spiritueux d’exception

Une boisson exceptionnelle a vu le jour lors d’une soirée entre amis passionnés de spiritueux et de produits de qualité. « Avec mon associé Tomas, nous sommes de fervents amateurs de gin », raconte Adrien, l’un des co-fondateurs du Gin d’Arc. Plongez dans l’univers de cette expérience gustative inégalée.
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Cette boisson est née d’une soirée entre amis adeptes des spiritueux et des bons produits. « Avec mon associé Tomas, nous sommes des amateurs de gin, raconte Adrien, l’un des co-fondateurs du Gin d’Arc. Nous avions déjà pas mal de bouteilles dans nos armoires. Nous nous sommes fait la remarque que si l’on connaît tous le gin traditionnel, comme dans le gin tonic, il nous manquait un gin qui puisse se déguster pur, tout en ayant du goût. » Ce soir-là, le pari fut lancé ! « Pour apprendre, on s’est rapproché de distillateurs français, on a visité le salon du gin à Lyon, The Gin Addict, et sommes partis prospecter. » Novices dans le milieu de la création d’alcool, Tomas et Adrien sympathisent avec les représentants de deux maisons de spiritueux, étape qui leur met le pied à l’étrier. Ils participent à des stages, glanent des conseils, s’engouffrent dans la recherche en achetant des ouvrages et en expérimentant. Les soirées dégustations leur permettent de développer leur produit et, au terme de deux ans et demi de recherches, celui-ci est prêt à être commercialisé. « Lorsque la première recette a été créée, je me suis tourné vers un ami de la famille qui est caviste à Saran. Nous souhaitons avoir le retour d’expérience de professionnels et de notre entourage », poursuit Adrien. Concrètement, il s’agit d’un alcool produit localement, le romarin est même cultivé dans le jardin d’Adrien ! Au départ, les confectionneurs utilisent un atelier accolé à leur domicile, avant de faire appel à un architecte pour mettre le local aux normes, une fois la première étape passée : celle des douanes, qui leur permet de devenir entrepositaire agréé, c’est-à-dire d’être en mesure d’acheter de l’alcool pur et de le travailler. « Pour notre troisième production, avance Adrien, nous aimerions faire travailler l’épicerie de Marcilly-en-Villette pour tous les produits que l’on peut acquérir sur place, afin de faire entrer le gin dans un circuit vertueux », ajoute – t-il.

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